Suite à un problème de délai de fabrication, la présentation de mon livre Le Sillon de Pouchkine ne pourra pas se dérouler à la date prévue du 25 novembre aux Hospices civils.
La manifestation prendra une autre tournure dans un autre endroit tout aussi prestigieux et sera certainement accompagnée d'une conférence que je donnerai sur le thème de "l'âme slave/l'âme russe" : je vous tiendrai informé en temps voulu.
Merci de votre compréhension !
Présentation de mon roman : Le Sillon de Pouchkine, dont l'action se situe en Russie (et une partie en Allemagne) de la mort du poète à l'arrivée de Vladimir Poutine au pouvoir ! Soit deux siècles d'histoire russe vus par le petit bout de la lorgnette...
Quand ? : Samedi 25 novembre (10h-12h) :
Où ? : Cave des Hospices civils de strasbourg
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La saison s'annonce riche !
Réédition de mon roman médiéval : Mil cent onze : un pur bonheur.
Réédition de mon premier roman Ce qu'on entend sur la Place Rouge chez un nouvel éditeur avec un titre différent : Le sillon de Pouchkine. Immense joie de voir revivre ce livre disparu depuis 2010.
Parution de mon prochain roman situé dans le chantier du Haut-Koenigsbourg sous ce titre : L'été 1905 : on y découvrira les dessous de l'Histoire à travers la vie de deux peronnages hors du commun.
Agissant comme quelqu'un qui est seul sur Terre, il saisit le téléphone et appela le négociateur :
— J'ai une déclaration à faire.
— Je vous écoute.
— Pas à vous. Aux médias. J'attends.
Clotilda se demanda ce que le braqueur avait en tête. Elle l'interpella :
— Que se passe-t-il, Oualid ?
— Rien qui vous concerne, capitaine.
— J'aimerais comprendre. Vous êtes un homme intelligent. Qu'est-ce qui vous motive ? Qu'est-ce qui vous a amené à… ?
— À quoi ? À être ce que je suis ? À faire ce que je fais ?
Il eut une moue dédaigneuse :
— Ça, femme, ce n'est pas à toi que je le dirai…
Et il ajouta une tirade dans ce qui ressemblait sans l'ombre d'un doute à de l'arabe.
Puis il croisa les bras et se mura dans le silence.
Prise d'otages : troisième extrait :
Le commandant Romain, qui se tenait au courant minute par minute de la situation, avisa son supérieur, le contrôleur général des services actifs de la police nationale. C'est à lui qu'incomba la tâche délicate qui consistait à avertir le ministre de l'Intérieur du problème qui venait de surgir en périphérie du G10. Par chance, si l'on peut dire, ledit ministre était à Strasbourg. S'isolant dans un endroit discret, il écouta très attentivement le compte rendu du contrôleur général.
— Merci de m'avoir informé. Je m'entretiens aussitôt avec le Premier ministre et Madame le préfet.
Comme il fallait des hommes connaissant le terrain, c'est le GIPN de Strasbourg qui fut contacté et missionné à La Meinau. Une décision prise en un temps record : il n'était pas question de laisser traîner en longueur une affaire qui risquait de ternir l'image d'un G10 consacré à la lutte contre le terrorisme !