Au vu des derniers développements que l'on sait, je crains que la fabrication de mon prochain roman A la lumière du beffroi ne soit de nouveau compromise, ou en tout cas reportée. J'implore donc toutes les personnes qui ont participé à la souscription de patienter encore un peu, en espérant que l'horizon finisse par se dégager ! Merci d'avance.
PS. Oserais-je ajouter, histoire de détendre l'atmosphère, cette citation célèbre d'un de nos grands dramaturges ? Osons: N'oublions jamais, comme il l'a écrit, que le désir s'accroît plus l'effet se recule...
Excellente nouvelle ! Mon prochain opus est en cours de fabrication. Il s'agit d'un roman historique situé à Obernai pendant les grandes grèves de 1936, intitulé : À la lumière du beffroi. Il fait suite, trente après, au récit précédent : L'été 1905. On peut le commander sur ce site !
Il faut parfois faire preuve de beaucoup de patience ! Je m'adresse à toutes les personnes qui ont participé à la souscription concernant mon prochain roman : A l'ombre du beffroi, ainsi qu'à toutes celles et ceux qui en attendent la publication. Celle-ci aurait déjà dû avoir lieu. Cependant compte tenu des circonstances particulières de ce printemps inédit, l'édition est repoussée au mois de septembre. Je dis bien : reportée et non annulée, car, comme vous vous en doutez je tiens particulièrement à la sortie de ce livre. J'y tiens d'autant plus que j'ai commencé (profitant d'une inaction plus subie que volontaire) à travailler à la suite : l'action se passera à Obernai et à Strasbourg et s'étirera sur trois décennies, de 137 à 1967. Le titre en est (provisoirement) : Chaque jour, l'apothéose. Je vous souhaite de bien vous porter et vous donne rendez-vous dans quelques mois.
Bonjour à toutes et à tous, fidèles lectrices et lecteurs. J'ai en projet la publication en autoédition au premier semestre 2020 d'un roman intitulé : A la lumière du beffroi, dont l'action se déroule à Obernai en 1936. Ce roman constitue une suite, ou un prolongement, à L'Eté 1905 (les deux pouvant être lus séparément).
Afin de finaliser financièrement la production de cet ouvrage, je vous propose un pré-achat. Cela vous garantit l'acquisition du livre, et me garantit la concrétisation du projet. Le prix de vente envisagé : 18 € (pour un livre qui comptera 472 pages); mais vous pouvez participer à hauteur de 20 €, ce qui représente le prix du livre + les frais d'envoi, puisque je vous le ferai parvenir dès sa parution. Le mieux est de me faire parvenir un chèque à mon nom, 3 rue de l'Altau - 67210 - Obernai, avec l'adresse où je devrai envoyer le livre (très important !). J'avais procédé de cette façon pour le bouquin consacré à mes parents, et le résultat avait été satisfaisant. Malheureusement tout est trop souvent affaire de gros sous...
Je sais qu'en cette période de Noël les cordons de la bourse ne sont pas toujours faciles à délier, mais on peut voir cette prévente que j'organise comme un pré-cadeau pour l'année qui vient ! En vous remerciant pour votre aide si vous la jugez utile, je vous dis à bientôt et vous souhaite par avance de bonnes fêtes.
Un extrait de mon polar Pesticible :
Le juge reprit le fil du discours :
— Y a-t-il des alternatives à l’agriculture intensive et pesticido-dépendante, si je puis me permettre ce néologisme ?
— Évidemment. D’abord il y a l’interdiction pure et simple de certains produits, ou en tout cas une taxation plus forte. Ensuite il y a l’agriculture bio qui pourrait bénéficier d’un soutien financier. Enfin, à la place des désherbants chimiques on peut employer des désherbants naturels : le purin d’ortie, le purin d’angélique, le vinaigre blanc, l’eau de cuisson des pommes de terre... Sans omettre les moutons, qui tondent déjà les pelouses dans certaines villes.
— Par exemple ! — s’écria Odette. — Moi qui jette mon eau de cuisson à chaque fois que je fais de la purée !...
— Si vous aviez un jardin, vous l’utiliseriez à bon escient. Il y a aussi le paillage. Et le désherbant thermique électrique. Et je ne dis rien de l’assolement triennal qui garantit le renouvellement des ressources du sol.
— Tout ça, c’est bien joli, mais c’est valable pour de petites surfaces. Quand il s’agit de champs immenses...
— Je ne prétends pas que les solutions soient évidentes. Mais si on ne les cherche même pas, on ne risque pas d’en trouver.